L’Est de l’île de La Réunion est une terre d’exception. Indompté et intact cette région reflète bien la biodiversité de l’île.
La côte aux vents dans l’Océan Indien
La côte aux vents est réputée pour sa luxuriance avec les forêts primaires, les cascades et les différents bassins, de quoi vous offrir des moments inoubliables, d’improbables spots photos et des bons coins gourmands sur les 6 communes.
On y sent encore battre le cœur d’une Réunion authentique et conviviale.
Cette région regroupe 6 communes, Bras-Panon, la Plaine des Palmistes, Saint-André, Saint-Benoît, Sainte-Rose et Salazie et s’étend sur 73 000 ha.
Quelques spécificités et quoi faire dans l’Est de l’île de La Réunion ?
Le Cirque de Salazie (le cirque le plus facilement accessible de l’île), la forêt de Bélouve, la vallée de Takamaka, les champs de cannes (couvrant une grande partie du territoire), le letchi de Saint-Benoît, le chouchou de Salazie, la vanille de Sainte-Rose et de Bras-Panon etc Toutes ces spécificités font de l’Est une région au visage authentique et préservée.
Bras-Panon, la vanille
Vaste plaine de l’Est chaude et humide, couverte de cannes à sucre et de vanilleraies, Bras-Panon est le domaine des bichiques, gourmandise traditionnelle des bonnes tables. La commune offre des promenades faciles au milieu d’une végétation luxuriante. Tous les ans au mois de mai s’organise la Foire agricole de Bras-Panon.
La Plaine-des-Palmistes, havre de douceur
D’une altitude moyenne de 1 000 mètres, très arrosé, ce plateau est d’une incomparable richesse botanique. Ce qui explique la diversité de ses productions agricoles. Tous les ans, en juin, la fête des Goyaviers rythme la Plaine des Palmistes
Saint-André, berceau de la culture tamoule
Commune à vocation agricole dès l’aube du peuplement, Saint-André a connu la plus forte concentration de travailleurs immigrés indiens autour de ses champs et usines. Ses attraits touristiques, à l’écart des grandes voies de circulation, méritent largement le détour. Saint-André fête le Dipavali, en octobre ou novembre.
Saint-Benoît, les eaux vives
Autrefois terminus du chemin de fer et région totalement vouée à l’agriculture et l’industrie sucrière, la commune de Saint-Benoît est aujourd’hui une Ville d’art, d’enseignement, de culture et de tourisme. Elle regorge de centres d’intérêts touristiques.
Sainte-Rose, verdoyante, chaude, humide et attachante
Entre une rivière de l’Est impressionnante, l’océan Indien, et le massif de la Fournaise, la commune de Sainte-Rose offre une très grande diversité de paysages. C’est pain béni pour le touriste de passage comme pour les pique-niqueurs locaux qui ont fait de cette région une de leurs excursions favorites.